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JUDO PAR CEINTURES  Le judo féminin

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À l’origine, c’est le quatrième tome de la série Judo par ceintures. Voici un livre qui n’aurait pas du être inclus dans la progression de maître Pelletier car

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Description

À l’origine, c’est le quatrième tome de la série Judo par ceintures. Voici un livre qui n’aurait pas du être inclus dans la progression de maître Pelletier car il est écrit par des femmes, professeurs de judo, pour des fem­mes judokas. Pas de techniques spéciales, mais une classification, par ceintures, des waza à exécuter. Une étude poussée sur les chutes et la gymnas­tique forme l’essentiel de cet ouvrage (comme des exercices de gymnastique originaux qui cons­tituent des variantes intéressantes aux exercices proposés généralement aux garçons). Les autres parties du livre sont une introduction aux différents exercices de base et katas pratiqués par les débutantes au Japon : Tandokudosa, Goshin-hô, Kime Shiki, Ju no Kata…
« …ne jamais oublier que le judo est une discipline de combat et que, les femmes l’ayant choisi en connaissance de cause, cet aspect ne doit jamais être perdu de vue… les méthodes enseignées pour y parvenir ne peuvent être envisagées de la même manière que chez les hommes : le risque étant de masculiniser de façon désastreuse les pratiquantes. On doit toujours garder à l’esprit que le seul entraînement envisageable est celui qui respecte leur morphologie particulière. Dans ce contexte d’harmonie… le randori semble être le maximum de ce qu’il est souhai­table de faire pratiquer aux femmes ». (extrait du livre).

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Caractéristiques
9782901551669
EAN
9782901551669
ISBN
Auteur
Guy PELLETIER

Les auteurs

Guy PELLETIER (1921-2011), 9e dan de judo, est un des pionniers du judo qu'il débute en 1940, sous la direction de M. Feldenkrais  puis de  Maître Mikonosuke Kawaishi. Il obtient sa ceinture noire 1er Dan (la n°7) en 1942 puis ouvre son club rue Martel (à Paris) en 1945 : le JC Saint-Martin. En 1947, il fait partie de la 1e équipe de France de Judo qui se confronte à l’Angleterre. En 1952, il rencontre Maître Ichiro Abé, à qui il restera fidèle jusqu’à la fin de son existence. Il sera chargé par celui-ci de développer en France, le judo du Kodokan. Mû par un désir de progression vers la perfection, il ne cesse d’étudier et fait jusqu’à un âge très avancé de nombreux stages au Japon.

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